4 octobre 2009
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M'approchant dans son dos, sans que rien ne l'ébruite,
J'écoute le silence et le son de ses vœux.
M'imaginant sans voir où sont posés ses yeux ?
Il n'y a que la route, et ses lignes de fuite.
Et sans non plus savoir à quoi tient ma conduite,
Encore un peu plus près, comme approchant d'un feu,
Je plonge dans son cou mon regard amoureux.
S'il se tourne, à coup sûr, les carottes sont cuites !
Je le suivrai sinon le long de ce chemin,
Sans pouvoir retenir d'aller un peu plus loin.
Restant sur ses talons, je couve cette braise.
Et peut-être allons-nous être en ébullition,
De séduire un volcan, de tenter la fournaise...
Il n'y a plus qu'un pas pour ma supposition.
J'écoute le silence et le son de ses vœux.
M'imaginant sans voir où sont posés ses yeux ?
Il n'y a que la route, et ses lignes de fuite.
Et sans non plus savoir à quoi tient ma conduite,
Encore un peu plus près, comme approchant d'un feu,
Je plonge dans son cou mon regard amoureux.
S'il se tourne, à coup sûr, les carottes sont cuites !
Je le suivrai sinon le long de ce chemin,
Sans pouvoir retenir d'aller un peu plus loin.
Restant sur ses talons, je couve cette braise.
Et peut-être allons-nous être en ébullition,
De séduire un volcan, de tenter la fournaise...
Il n'y a plus qu'un pas pour ma supposition.