12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 17:39

L’une majuscule et l’autre posthume,
Aux heures de vie à cinq océans,
Je ne veux manger trop souvent céans,
Mais dans l’intermède, auprès du bitume.

Et ce n’était pas le goût d’amertume,
Un simple regret de duc d’Orléans,
S’il faut se nourrir quelquefois léans
Comme de vêtir un autre costume.

Il m’est agréable à chaque mardi
De me faire un brunch – ne dites pardi !
Ni ne faites cas d’encas sur la route.

J’étais sous les fleurs d’un monde flottant,
Des palmiers ombreux me filaient la goutte,
Avec mon riz brun, et mon saké blanc.






"Sous les fleurs d’un monde flottant
avec mon riz brun
et mon saké blanc"
Bashô

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